L’IA dans l’énergie
Depuis les années 2000, le secteur de l’énergie – qui évoluait lentement – a été très fortement digitalisé (smart meters, smart grids, objets connectés et IOT…), entrainant une forte croissance des données mobilisables.
Il connait aussi de profondes mutations, avec en particulier 4 tendances clés que sont la décarbonation, les enjeux croissants de souveraineté énergétique et de décentralisation, la dérégulation et bien sûr la digitalisation.
Chez Quantmetry, nous sommes convaincus que l’IA peut contribuer fortement à l’émergence de nouveaux modèles au service de la transition énergétique.
Vous êtes intéressé par l’IA dans l’énergie ?
Contactez Judith GUENOUN, Directrice Strategy & Energy de Quantmetry :
jguenoun@quantmetry.com
Alors, disruption ou performance ? Comment l’intelligence artificielle impacte-t-elle les métiers de l’énergie et avec quel degré de profondeur ? Quelle est la place de ces technologies dans l’énergie de demain et avec quels genres de risques ou opportunités pour les acteurs historiques ?
1.
L’IA de performance : 10 grands domaines d’application
2.
L’IA de disruption : de nouveaux métiers induits par les 4 grandes mutations à l’œuvre dans l’énergie
3.
Les technologies Data : un accès aux chaines de valeur de l’énergie pour de nouveaux entrants natifs de ces technologies
Pour en savoir plus sur l’IA dans l’énergie et l’environnement
ARTICLE DE BLOG
Construction d’une application sur mesure pour la police de l’environnement
Chez Quantmetry, nous avons travaillé en étroite collaboration avec l’Office Français de la Biodiversité pour développer un produit sur mesure destiné à la police de l’environnement. Grâce à notre expertise en AI Product et en Data & Sustainability, nous avons conçu une solution IA efficace et robuste pour identifier les zones à contrôler en priorité.
ARTICLE DE BLOG
Machine Learning à partir de données spatio-temporelles : prioriser les zones de contrôle des pollutions diffuses par la Police de l’Environnement
Pour diverses raisons, les inspecteurs de l’environnement réalisent une part importante de contrôles conformes et n’optimisent pas la recherche des non-conformités. Il est possible de se demander, quel est le coût de cette sous-optimisation, et s’ils pourraient dégager du temps pour leur permettre de valoriser des activités à haute valeur ajoutée, telles que les processus judiciaires en aval du constat d’infraction, ou le contrôle de nouvelles zones à risque.